(Afriscoop 19/09/2012)
(AfriSCOOP Lomé) — Après leurs menaces de manifestation en tenue d’Eve pour faire libérer de jeunes manifestants arrêtés les 21, 22 et 23 août lors d’un appel du Cst (Collectif sauvons le Togo) à battre le pavé pour décrier le pouvoir togolais, des militantes et sympathisantes de l’Opposition togolaise seront de nouveau dans les rues ce jeudi pour décrier le régime de Faure Gnassingbé.
Elles chemineront toutes habillées en rouge de la Colombe de la paix à la devanture de l’ancienne Présidence togolaise, en bordure de mer, à Lomé. Pour cette énième manifestation, le Cst sera épaulé par les femmes du Collectif « Arc-en-ciel », autre regroupement de contestataires du régime de Lomé.
A travers leur descente dans les rues, ces opposantes entendent dénoncer « l’impunité ; la confiscation de plus d’un milliard de fcfa appartenant aux femmes du Grand marché ; la non-assistance aux femmes et enfants des victimes de la torture ; le non-respect des accords en faveur des étudiantes et étudiants ; le non-respect de la dignité des femmes garantie par les instruments nationaux et internationaux sur les droits des femmes » et « exiger le respect des droits humains pour le bien-être des populations et l’alternance politique ».
(AfriSCOOP Lomé) — Après leurs menaces de manifestation en tenue d’Eve pour faire libérer de jeunes manifestants arrêtés les 21, 22 et 23 août lors d’un appel du Cst (Collectif sauvons le Togo) à battre le pavé pour décrier le pouvoir togolais, des militantes et sympathisantes de l’Opposition togolaise seront de nouveau dans les rues ce jeudi pour décrier le régime de Faure Gnassingbé.
Elles chemineront toutes habillées en rouge de la Colombe de la paix à la devanture de l’ancienne Présidence togolaise, en bordure de mer, à Lomé. Pour cette énième manifestation, le Cst sera épaulé par les femmes du Collectif « Arc-en-ciel », autre regroupement de contestataires du régime de Lomé.
A travers leur descente dans les rues, ces opposantes entendent dénoncer « l’impunité ; la confiscation de plus d’un milliard de fcfa appartenant aux femmes du Grand marché ; la non-assistance aux femmes et enfants des victimes de la torture ; le non-respect des accords en faveur des étudiantes et étudiants ; le non-respect de la dignité des femmes garantie par les instruments nationaux et internationaux sur les droits des femmes » et « exiger le respect des droits humains pour le bien-être des populations et l’alternance politique ».
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