Emily Dickinson
Publié le 18 août 2010 par Arbrealettres
Au Cordial Tombeau je t’arrache
Il ne te prendra pas la Main
Ni ne t’enlacera de son vaste Bras
Que nul ne peut comprendre
Il ne te prendra pas la Main
Ni ne t’enlacera de son vaste Bras
Que nul ne peut comprendre
***
Back from the Cordial Grave I drag thee
He shall not take thy Hand
Nor put his spacious Arm around thee
That none can understand
Back from the Cordial Grave I drag thee
He shall not take thy Hand
Nor put his spacious Arm around thee
That none can understand
TROISIÈME POÈME (EXTRAITS)
Si j’étais pour
quelque mémoire
Pierre sculptée à la douleur
Sur un vieux tombeau sans couleur
Palais du temps ultime armoire
Serais-je obligé de pleurer
Et de rester sur cette tombe
Jusqu’à ce que ma pierre tombe
En chère poussière à leurrer
Pierre allume une cigarette
Mets un peu de poudre de riz
Sur ton âme et va dans Paris
Vers Notre-Dame de Lorette
Pierre sculptée à la douleur
Sur un vieux tombeau sans couleur
Palais du temps ultime armoire
Serais-je obligé de pleurer
Et de rester sur cette tombe
Jusqu’à ce que ma pierre tombe
En chère poussière à leurrer
Pierre allume une cigarette
Mets un peu de poudre de riz
Sur ton âme et va dans Paris
Vers Notre-Dame de Lorette
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