Devant les
parlementaires algériens, le président n’a pas fait repentance mais
dénoncé l’injustice et la violence de l'ère coloniale.
Hommage fut rendu aux "grandes consciences françaises qui ont su
s’élever contre l’injustice de l’ordre colonial", de Georges Clémenceau à
François Mauriac en passant par Germaine Tillon et André Mandouze.
Autrement dit, il y eut du bon et du moins bon dans chaque camp.
Raisonnable, François Hollande a fait sienne la conception défendue par
le président Bouteflika d’une "lecture objective de l’Histoire". On
comprend donc que ce travail savant doit être entrepris des deux côtés
de la Méditerranée.
Sylvain Courage - Le Nouvel Observateur
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