C'est ce qu'affirme le journaliste Vincent Nouzille dans "Erreurs
fatales" (Editions Fayard). Une quarantaine de djihadistes auraient
ainsi été tués entre 2013 et 2016, dont huit Français. Ils auraient tous
figuré sur une liste de cibles à abattre soumise à l'aval du président.
Il n'est toutefois pas inhabituel que ce genre de liste existe sous la
présidence d'un chef d'Etat. Mais ce rythme, une opération par mois,
n'avait plus était connu depuis l’époque de la guerre d’Algérie, en
1950... Par ailleurs, c'est la première fois qu'un président l'assume
publiquement.
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