donderdag 29 mei 2014
Donald Nolet wint Schaduw-prijs én De Gouden Strop
Donald Nolet heeft de Schaduwprijs voor het beste thrillerdebuut én De Gouden Strop, de prijs voor het beste Nederlandstalige spannende boek, ontvangen voor zijn thriller Versleuteld.
De prijzen zijn vanavond uitgereikt op de Avond van het Spannende Boek, de openingsavond van Juni - Maand van het Spannende Boek, in Pakhuis de Zwijger in Amsterdam. Nolet ontving De Gouden Strop uit handen van Tess Gerritsen, de befaamde thrillerauteur en schrijver van het Geschenkboek Incendio.
Le parlement iranien approuve une loi qui permet aux hommes de se marier avec leur fille...
Ceux qui pensaient que le nouveau président iranien, Hassan Rouhani,
était un réformateur, seront sûrement déçus : Rouhani vient de signer
une nouvelle loi pour autoriser les hommes à épouser leurs filles
adoptives
express.be
dinsdag 27 mei 2014
Alex Woolf Wees blij dat je geen soldaat in W.O.1 bent!
loopgraven waar je liever niet in zit
Stel
je voor… als kersverse soldaat word je naar het front gestuurd en
ontdek je hoe zwaar het leven is in de loopgraven. Het is
verschrikkelijk!Toptips van deskundigen:
- Trek minstens twee keer per dag droge sokken aan om loopgraafvoeten te voorkomen – hoewel dit in een natte loopgraaf makkelijker is gezegd dan gedaan!
- Hang een stukje spek aan het uiteinde van je geweer als je een rat van dichtbij wilt schieten.
- Verzin een gebarentaal om met je kameraden te communiceren als je nachtdienst hebt.
- Laat je niet verrassen door een vijandelijke gasaanval en neem je gasmasker altijd mee.
- Voorkom dat een postduif zijn bericht aflevert bij de vijand en stuur een aantal haviken op hem af!
maandag 26 mei 2014
opvang Syrische vluchtelingen: teken de petitie!
| Nieuwsbrief 26 mei 2014 |  |
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Le pape invite Mahmoud Abbas et Shimon Peres à prier au Vatican
Le pape François s'est rendu dans les Territoires palestiniens où il a dénoncé une "occupation inacceptable".
Le pape François priant à Bethléem, le 25 mai 2014. (OSSERVATORE ROMANO/AFP)
Le pape François a invité dimanche 25 mai les
dirigeants palestinien et israélien à prier avec lui au Vatican pour la
paix et mettre fin à une situation "inacceptable", qu'il a touchée du
doigt en se recueillant sur le "mur" en Cisjordanie.
Après sa visite en Jordanie et dans la ville palestinienne de Bethléem, le pape est arrivé en Israël dans l'après-midi à bord d'un hélicoptère militaire jordanien.
Dès son arrivée à l'aéroport de Tel Aviv, où l'attendaient les dirigeants israéliens, François s'est dit "profondément attristé" par les victimes de l'attaque du Musée juif de Bruxelles, qui a fait quatre morts samedi, dénonçant un "acte criminel de haine antisémite".
Il s'est rendu aussitôt après à Jérusalem, pour une rencontre oecuménique qui constitue, d'un point de vue religieux, le point culminant de son pèlerinage.
Le moment fort de cette rencontre sera une prière commune avec les chefs des Eglises chrétiennes d'Orient dans la basilique du Saint-Sépulcre, lieu selon la tradition de la mort et de la résurrection de Jésus.
A son arrivée à Jérusalem en hélicoptère de l'armée israélienne, une cérémonie a eu lieu en présence du maire israélien Nir Barkat et d'une cinquantaine d'écoliers juifs, chrétiens et musulmans.
"Je veux vous accueillir par le message au monde que cette ville est ouverte aux peuples de toutes les religions", a assuré Nir Barkat.
A Bethléem, où le pape a été reçu officiellement sur le sol de l'Etat de Palestine, reconnu par le Vatican, le président Mahmoud Abbas a accusé Israël de "changer l'identité et le caractère de Jérusalem-Est et d'asphyxier sa population palestinienne, chrétienne et musulmane, afin de la chasser" de la ville.
Baissant la tête pour une prière silencieuse, il est resté plusieurs minutes devant le mur de béton de huit mètres, la main droite et le front appuyés contre la paroi couverte de graffiti, dont un, en anglais, lui était adressé : "Pape, nous avons besoin de quelqu'un pour parler de justice".
Pour Nimr Hammad, conseiller politique de Abbas, ce geste signifie "qu'on ne peut parvenir à la paix tant qu'Israël continue à construire des murs de séparation racistes entre les peuples palestinien et israélien".
Pendant la messe, le souverain pontife a invité Abbas et le président israélien Shimon Peres à venir chez lui au Vatican se joindre à lui pour "une prière intense en invoquant de Dieu le don de la paix".
Abbas a "accepté l'invitation du pape et le lui a dit", a affirmé le négociateur palestinien Saëb Erakat, précisant que la visite aurait "lieu le 6 juin". Shimon Peres a "salué l'invitation du pape", a indiqué son porte-parole, sans confirmer qu'il s'y rendrait.
Il a ensuite déjeuné avec des familles palestiniennes avant de rencontrer des enfants du camp de réfugiés voisin de Dheisheh, auxquels il a déclaré : "La violence ne se vainc pas par la violence mais par la paix". Il a conclu par une visite de la basilique de la Nativité.
A Jérusalem, face aux menaces de troubles de la part d'activistes juifs d'extrême droite, la police israélienne a annoncé dimanche avoir arrêté 26 membres de cette mouvance qui manifestaient contre la visite sur le mont Sion, où le pape doit célébrer une messe lundi.
La police, qui a mobilisé plus de 8.000 agents, un dispositif baptisé "Opération soutane blanche", a également pris des mesures d'éloignement à l'encontre d'une quinzaine d'extrémistes juifs présumés.
Après sa visite en Jordanie et dans la ville palestinienne de Bethléem, le pape est arrivé en Israël dans l'après-midi à bord d'un hélicoptère militaire jordanien.
Dès son arrivée à l'aéroport de Tel Aviv, où l'attendaient les dirigeants israéliens, François s'est dit "profondément attristé" par les victimes de l'attaque du Musée juif de Bruxelles, qui a fait quatre morts samedi, dénonçant un "acte criminel de haine antisémite".
Il s'est rendu aussitôt après à Jérusalem, pour une rencontre oecuménique qui constitue, d'un point de vue religieux, le point culminant de son pèlerinage.
Une cérémonie à Jérusalem
François doit rencontrer le patriarche de Constantinople, Bartholomée, chef spirituel de l'Eglise orthodoxe, 50 ans après le sommet historique entre le pape Paul VI et le chef de l'Eglise orthodoxe de l'époque, Athénagoras.Le moment fort de cette rencontre sera une prière commune avec les chefs des Eglises chrétiennes d'Orient dans la basilique du Saint-Sépulcre, lieu selon la tradition de la mort et de la résurrection de Jésus.
A son arrivée à Jérusalem en hélicoptère de l'armée israélienne, une cérémonie a eu lieu en présence du maire israélien Nir Barkat et d'une cinquantaine d'écoliers juifs, chrétiens et musulmans.
"Je veux vous accueillir par le message au monde que cette ville est ouverte aux peuples de toutes les religions", a assuré Nir Barkat.
A Bethléem, où le pape a été reçu officiellement sur le sol de l'Etat de Palestine, reconnu par le Vatican, le président Mahmoud Abbas a accusé Israël de "changer l'identité et le caractère de Jérusalem-Est et d'asphyxier sa population palestinienne, chrétienne et musulmane, afin de la chasser" de la ville.
Une prière silencieuse
Sur le chemin de la place de la Mangeoire pour célébrer une messe, François s'est livré à une des improvisations dont il a le secret, faisant arrêter sa voiture découverte pour descendre au pied de la barrière de séparation israélienne.Baissant la tête pour une prière silencieuse, il est resté plusieurs minutes devant le mur de béton de huit mètres, la main droite et le front appuyés contre la paroi couverte de graffiti, dont un, en anglais, lui était adressé : "Pape, nous avons besoin de quelqu'un pour parler de justice".
Pour Nimr Hammad, conseiller politique de Abbas, ce geste signifie "qu'on ne peut parvenir à la paix tant qu'Israël continue à construire des murs de séparation racistes entre les peuples palestinien et israélien".
Pendant la messe, le souverain pontife a invité Abbas et le président israélien Shimon Peres à venir chez lui au Vatican se joindre à lui pour "une prière intense en invoquant de Dieu le don de la paix".
Abbas a "accepté l'invitation du pape et le lui a dit", a affirmé le négociateur palestinien Saëb Erakat, précisant que la visite aurait "lieu le 6 juin". Shimon Peres a "salué l'invitation du pape", a indiqué son porte-parole, sans confirmer qu'il s'y rendrait.
"La violence ne se vainc pas par la violence"
François a été accueilli avec des vivats par quelque 10.000 fidèles sur la place de la Mangeoire, pavoisée de drapeaux du Vatican et palestiniens et ornée d'un tableau géant de la naissance de Jésus, représenté enveloppé d'un keffieh, le symbole national palestinien, généreusement distribué dans l'assistance.Il a ensuite déjeuné avec des familles palestiniennes avant de rencontrer des enfants du camp de réfugiés voisin de Dheisheh, auxquels il a déclaré : "La violence ne se vainc pas par la violence mais par la paix". Il a conclu par une visite de la basilique de la Nativité.
A Jérusalem, face aux menaces de troubles de la part d'activistes juifs d'extrême droite, la police israélienne a annoncé dimanche avoir arrêté 26 membres de cette mouvance qui manifestaient contre la visite sur le mont Sion, où le pape doit célébrer une messe lundi.
La police, qui a mobilisé plus de 8.000 agents, un dispositif baptisé "Opération soutane blanche", a également pris des mesures d'éloignement à l'encontre d'une quinzaine d'extrémistes juifs présumés.
zondag 25 mei 2014
Le conflit israélo-palestinien, "une situation inacceptable" pour le pape
François a appelé à "la reconnaissance de la part de tous du droit de deux Etats à exister et jouir de la paix et de la sécurité dans des frontières internationalement reconnues".
Le pape François
(AFP / FILIPPO MONTEFORTE)
Le pape a lancé un appel
dimanche 25 mai à mettre "fin à une situation toujours plus
inacceptable" dans le conflit israélo-palestinien, en demandant de
reconnaître le droit pour un Etat d'Israël et un Etat de Palestine de vivre en paix et sécurité.
Parlant à Bethléem, en Cisjordanie, devant le président palestinien Mahmoud Abbas, le pape a affirmé que "le courage de la paix s'appuie sur la reconnaissance de la part de tous du droit de deux Etats à exister et jouir de la paix et de la sécurité dans des frontières internationalement reconnues".
"Je voudrais dire du plus profond de mon coeur qu'il est
temps, a-t-il ajouté, de mettre fin à une situation qui devient toujours
plus inacceptable, et ce pour le bien de tous".
"Que redoublent donc les efforts et les initiatives destinés à créer les conditions d'une paix stable, basée sur la justice, sur la reconnaissance des droits de chacun et sur la sécurité réciproque. Le moment est arrivé pour tous d'avoir le courage de la générosité et de la créativité au service du bien, le courage de la paix", a-t-il plaidé.
Selon François, "la paix apportera avec elle d'innombrables bénéfices pour les peuples de cette région et pour le monde entier. Il faut donc marcher résolument vers elle, même en renonçant chacun à quelque chose. Je souhaite aux peuples palestinien et israélien et à leurs respectives autorités d'entreprendre cet heureux exode vers la paix avec ce courage et cette fermeté nécessaires à tout exode".
"La paix dans la sécurité et la confiance mutuelle deviendront le cadre de référence stable pour affronter et résoudre les autres problèmes et offrir ainsi une occasion de développement équilibré, tel qu'il devienne un modèle pour d'autres zones de crise", a-t-il dit, faisant allusion aux autres conflits dans la région.
Le président Abbas a pour sa part accusé Israël devant le pape François de "tenter de chasser les Palestiniens, chrétiens et musulmans", de Jérusalem-Est occupé et annexé.
"Nous avons informé Sa Sainteté de l'action systématique d'Israël pour changer l'identité et le caractère de Jérusalem-Est et asphyxier sa population palestinienne, chrétienne et musulmane, afin de la chasser", a déclaré le président palestinien lors de la conférence de presse commune avec le pape à Bethléem.
Parlant à Bethléem, en Cisjordanie, devant le président palestinien Mahmoud Abbas, le pape a affirmé que "le courage de la paix s'appuie sur la reconnaissance de la part de tous du droit de deux Etats à exister et jouir de la paix et de la sécurité dans des frontières internationalement reconnues".
"Que redoublent donc les efforts et les initiatives destinés à créer les conditions d'une paix stable, basée sur la justice, sur la reconnaissance des droits de chacun et sur la sécurité réciproque. Le moment est arrivé pour tous d'avoir le courage de la générosité et de la créativité au service du bien, le courage de la paix", a-t-il plaidé.
"Un modèle pour d'autres zones de crise"
"Je souhaite vivement qu'à cette fin on évite de la part de tous des initiatives et des actes qui contredisent la volonté déclarée d'arriver à un vrai accord et qu'on ne se lasse pas de poursuivre la paix avec détermination et cohérence".Selon François, "la paix apportera avec elle d'innombrables bénéfices pour les peuples de cette région et pour le monde entier. Il faut donc marcher résolument vers elle, même en renonçant chacun à quelque chose. Je souhaite aux peuples palestinien et israélien et à leurs respectives autorités d'entreprendre cet heureux exode vers la paix avec ce courage et cette fermeté nécessaires à tout exode".
"La paix dans la sécurité et la confiance mutuelle deviendront le cadre de référence stable pour affronter et résoudre les autres problèmes et offrir ainsi une occasion de développement équilibré, tel qu'il devienne un modèle pour d'autres zones de crise", a-t-il dit, faisant allusion aux autres conflits dans la région.
Conférence de presse avec Mahmoud Abbas
Les chrétiens entendent continuer à remplir leur "rôle comme citoyens de plein droit, ensemble avec leurs autres concitoyens considérés comme des frères", a-t-il encore déclaré, en saluant le président Abbas, comme "un homme de paix et un artisan de paix".Le président Abbas a pour sa part accusé Israël devant le pape François de "tenter de chasser les Palestiniens, chrétiens et musulmans", de Jérusalem-Est occupé et annexé.
"Nous avons informé Sa Sainteté de l'action systématique d'Israël pour changer l'identité et le caractère de Jérusalem-Est et asphyxier sa population palestinienne, chrétienne et musulmane, afin de la chasser", a déclaré le président palestinien lors de la conférence de presse commune avec le pape à Bethléem.
vrijdag 23 mei 2014
Dijsselbloem 'verblijd' door verlies PVV bij Europese verkiezingen / en ik ook!!!
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23/05/14, 12:52
− bron: ANP
© anp.
Minister Jeroen Dijsselbloem van Financiën.
PvdA-minister Jeroen Dijsselbloem (Financiën) vindt het verrassend dat de PVV 'fors' heeft verloren bij de Europese verkiezingen. Dat 'heeft mij ook wel verblijd', zei hij vandaag voorafgaande aan de ministerraad.
PvdA-minister Lodewijk Asscher (Sociale Zaken) noemde de uitslag voor zijn partij 'niet goed, maar wel conform verwachting'. Ook zijn partijgenoot Ronald Plasterk (Binnenlandse Zaken) zei het verkiezingsresultaat niet goed te vinden.
PvdA-minister Jet Bussemaker (Onderwijs) zei blij te zijn 'dat een pro-Europese partij als D66 heeft gewonnen en een zeer anti-Europese partij als de PVV verloren lijkt te hebben'. Haar VVD-collega Jeanine Hennis-Plasschaert (Defensie) is blij 'dat de pragmatische koers die ik zelf voorsta als het om Europa gaat, z'n weerklank vindt in de Nederlandse samenleving'.
PvdA-minister Frans Timmermans (Buitenlandse Zaken) zei blij te zijn dat 'tweederde van de kiezers in Europa gelooft'. Eenderde van hen steunt volgens hem echter partijen die met hun rug naar Europa willen staan. Die mensen moeten ervan worden overtuigd dat Nederland er zonder de EU echt niet beter van wordt, zei de bewindsman.
Veel ministers betreurden de lage opkomst bij de verkiezingen voor het Europees Parlement. Ongeveer 37 procent van de kiezers ging naar de stembus, bijna vergelijkbaar met vijf jaar geleden. Timmermans, die als minister verantwoordelijk is voor Europa, trekt zich dat aan. 'Het is iets waar we hard aan moeten werken', zei hij.
De minister wil ervoor zorgen dat Europa niet alleen in verkiezingstijd aandacht krijgt, maar gedurende de hele periode van vijf jaar dat dit Europees Parlement er zit. Timmermans hoopt daarom dat hij nog zo lang mogelijk minister van Buitenlandse Zaken kan zijn. 'Ik wil niet naar Brussel', benadrukte hij nog maar eens.
Raad van Europa: opsluiten asielzoekers gaat in tegen mensenrechten
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23/05/14, 10:48
− bron: ANP
© anp.
Asielzoekers demonstreren in Den Haag.
Het opsluiten van asielzoekers in detentiecentra door Nederland gaat in
tegen de mensenrechten. Vooral het gevangenzetten van kinderen is
zorgelijk en gaat voorbij aan hun kwetsbaarheid. Dat heeft Hoge
Commissaris voor de Mensenrechten Nils Muiznieks van de Raad van Europa
vandaag tegen het ANP gezegd na een bezoek aan ons land en gesprekken
met bewindslieden.
De mensenrechtencommissaris is ook kritisch over de omgang met uitgeprocedeerde asielzoekers, die soms zonder opvang en voedsel op straat komen te staan. 'Dit kan niet zo blijven, ze hebben geen leven', aldus Muiznieks. Hij bezocht in Den Haag een kerk met vluchtelingen uit vooral Irak en Afghanistan die in Nederland niet kunnen werken.
'Nederland hoort ervoor te zorgen dat die mensen niet in een kerk hoeven te wonen', aldus de commissaris. Volgens hem moeten de migranten worden geholpen bij het terugkeren naar hun thuisland. Als dat niet lukt, moeten ze hulp krijgen om in Nederland te leven.
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© anp.De Angolese asielzoeker Mauro kwam uiteindelijk in aanmerking voor het kinderpardon.
Ook bij het kinderpardon plaatst hij kanttekeningen. 'Ik begrijp niet waarom van goed geïntegreerde kinderen de status in twijfel wordt getrokken.' Hij hoopt dat Nederland soepel omgaat met de regeling. Muiznieks denkt dat dit geen aanzuigende werking heeft op andere asielzoekers, omdat het aantal kinderen volgens hem vrij klein is.
Hij hoopt dat buitenlandse kritiek op het Nederlandse beleid leidt tot een discussie. Zo besloot een Duitse rechter onlangs om een Somalische asielzoeker niet terug te sturen naar Nederland, omdat hij in ons land mogelijk geen voeding en een dak boven zijn hoofd zou krijgen. 'Nederland speelt internationaal een belangrijke rol voor de mensenrechten en die stem wordt goed gehoord. Nederland moet het ook binnen de grenzen goed doen', aldus Muiznieks.
De Raad van Europa is een internationale organisatie die democratie en mensenrechten bewaakt in Europa. Nederland is een van de oprichters.
'Pijnlijke waarschuwing'
Kinderombudsman Marc Dullaert heeft vandaag gereageerd op de uitspraken van Muiznieks. Hij noemt het pijnlijk dat een Hoge Commissaris voor de Mensenrechten moet constateren dat het op sommige gebieden in Nederland niet goed gesteld is met de mensenrechten.
'Het verbaast me dat deze waarschuwing via de media naar buiten komt, nog voordat het rapport van Muiznieks af is. Het kabinet moet eigen conclusies trekken. Ik vind het vooral pijnlijk dat een officieel bezoek aan Nederland nodig is en dat de commissaris verontrustende signalen bevestigd ziet', aldus Dullaert.
Dullaert sprak eerder deze week met Muiznieks, die met een team naar Nederland is gereisd. 'Hij komt hier niet zomaar. Hij liet merken dat hij veel signalen had ontvangen. Muiznieks en zijn team waren hier om te toetsen of die signalen klopten en helaas werden ze bevestigd. Ik stond met mijn mond vol tanden toe ik hem sprak; ik kon hem ook niet uitleggen hoe het kan dat kinderen op Schiphol twee weken worden opgesloten.'
Volgens Dullaert was Muiznieks 'aangeslagen', toen hij hem sprak. De commissaris was toen net naar Schiphol geweest en had daar met Syrische vluchtelingen en kinderen gesproken die in detentiecentra waren opgesloten. 'Ik weet niet wat hij met zijn verzamelde informatie gaat doen, maar de situatie is niet goed voor het blazoen van Nederland.'
Verlies PVV in buitenlandse media: 'Nederlaag voor rechtse populisten'
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23/05/14, 08:50
− bron: ANP
© ANP.
PVV-leider Geert Wilders knipt voor het Europees Parlement een ster uit de Europese vlag
Het in de polls voorspelde verlies van de PVV bij de Europese
verkiezingen domineert de internationale berichtgeving over de Europese
verkiezingen in Nederland.
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De exitpoll ondermijnt wijdverbreide voorspellingen van een ommezwaai naar eurosceptische partijen dit weekeindeThe Irish Times
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© anp.PVV'ers Fleur Agema en Leon de Jong kijken naar de exitpolls van de verkiezingen voor het Europees Parlement in Cafe Nelson.
De Britse Daily Telegraph omschrijft het verlies van Wilders als wonderbaarlijke ommekeer in de verwachtingen. 'De extreem-rechtse anti-islam leider volgt met 12,2 procent van de stemmen alle gevestigde pro-EU partijen.' Aandacht heeft de krant ook voor de bijeenkomst van de PVV gisteravond. Zijn aanhangers kwamen gekleed in 'Wilders Akbar' voetbalshirts, een provocatieve actie op basis van de islamitische uitroep 'Allahu Akbar' (God is groot), aldus The Telegraph. Euronews kopt dat de anti-Europese droom van Wilders aan diggelen is geslagen.
'Bitter echec'
Duitse media focussen ook op het verrassende verlies van Wilders. Hij heeft zich volgens de Süddeutsche Zeitung duidelijk 'verrekend'. N-TV kopt 'Verrassing in Nederland: Geert Wilders verliest bij Europese Verkiezingen'. 'Nederlaag voor rechtse populisten in Nederland', kopt de Duitse krant Die Welt.
In Franstalige media is de teneur al niet anders. Het Belgische Le Soir ziet een 'bitter echec' voor Wilders. De Franse krant Le Monde spreekt van 'een grote tegenslag' voor de PVV-leider. De krant heeft een portret van Wilders gemaakt met de kop: Geert Wilders, van het liberalisme naar het extremisme.
De Irish Times is een van de kranten die alvast vooruitblikt en voorziet mogelijke problemen voor de vorming van een anti-Europese fractie door het verlies. 'De exitpoll ondermijnt wijdverbreide voorspellingen van een ommezwaai naar eurosceptische partijen dit weekeinde. Het resultaat van de PVV kan ook gevolgen hebben voor de vorming van politieke groepen in het komende Parlement', aldus de krant.
'Nederland verbant eurosceptici van Wilders naar derde plaats', schrijft het Spaanse persbureau EFE. Het Britse persbureau Reuters noemt de derde plaats van de PVV 'een onverwachte nederlaag' voor Wilders 'die in de peilingen maanden aan de leiding lag'.
L'artiste de rue Banksy a reçu le titre de personnalité de l'année lors des Webby Awards
L'artiste de rue Banksy
a reçu le titre de personnalité de l'année lors des Webby Awards, le 20
mai 2014. Aussi célèbre que mystérieux, le vainqueur n'est bien entendu
pas venu chercher son prix en personne.
Focus, à cette occasion, sur son œuvre sauvage et pacifique, qui passe
régulièrement de la rue aux galeries d'art. Ci-dessus, un tableau vu à
New York en octobre dernier. (REX/Erik Pendzich/Rex)
- Par Cyril Bonnet
donderdag 22 mei 2014
Cultureel Ontbijt Goeree-Overflakkee
Cultureel Ontbijt Goeree-Overflakkee
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