Cette
pluie souligne pourtant cruellement la précarité de la situation de ces
Syriens, qui ont élu domicile depuis quelques semaines dans ce petit
espace vert de Saint-Ouen. Grâce à des associations, ils ont pu dormir
certaines nuits dans des hôtels ou des voitures. Une solution temporaire
dans l'espoir d'une prise en charge par la mairie. (Cyril Bonnet/Le Nouvel Observateur)
- Par Cyril Bonnet
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