On nous répond, c'est la crise. La crise ne rend pas la culture
moins nécessaire, elle la rend au contraire plus indispensable. La
culture n'est pas un luxe dont, en période de disette, il faudrait se
débarrasser, la culture c'est l'avenir, le redressement, l'instrument de
l'émancipation".
Ne tolérons plus que l'esprit des affaires l'emporte sur les affaires de l'esprit".
Geen opmerkingen:
Een reactie posten